François Premier

Dimanche 22 avril 2012
Les urnes ont parlé. Et c'est sans surprise que Nicolas Sarkozy et François Hollande se retrouveront pour le second tour de l'élection présidentielle. Avec respectivement 29% et 24,4% des suffrages exprimés (estimations Ipsos), le candidat socialiste et son rival UMP arrivent largement en tête de ce scrutin de premier tour, marqué par un taux d'abstention bien moindre que redouté.
Pourquoi les Français ont voté ainsi : une élection sous tension
Le résultat de Marine Le Pen propulsent le Front national dans une nouvelle dimension
#RadioLondres: le buzz autour des résultats du premier tour
Faux conseils sur les réseaux sociaux: ils induisent les électeurs en erreur
Les candidats ont voté dans leurs fiefs
BILLETS DE BLOG
Anne Sinclair: Le début de la fin
Le duel Hollande/Sarkozy n'est pas une surprise. Mais que Nicolas Sarkozy, selon les estimations d'Ipsos que nous publions, arrive en deuxième position derrière François Hollande avec 25,7% des voix est un cauchemar pour celui qui fit 31,2% au premier tour de 2007. C'est d'ailleurs la première fois, depuis les débuts de la Ve République, que le président sortant arrive, au premier tour, derrière son challenger. C'est plus qu'un désaveu, c'est un rejet. C'est le début de la fin de l'exercice d'un mandat que les Français veulent visiblement sanctionner.
François Miquet-Marty: Une élection sous tensions
Les résultats de ce premier tour s'expliquent-ils par un long cours tranquille, une histoire linéaire ayant conduit à cette nouvelle France électorale ? Les Français ont été partagés, jusqu'au terme de la campagne...
Paride Broggi: Démocratie vs. Finance
Je crois que Sarkozy a raison quand il considère que les marchés jugeront le prochain président français. En revanche, je crois qu'il reste à prouver qu'il sera mieux jugé que Hollande, comme il le laisse entendre.
Olivier Guez: Bilan de campagne: La tentation d'une île
Comme dans les cours de récréation des écoles maternelles de l'Hexagone, sur les tribunes et dans les médias, les candidats et leurs états-majors ont beaucoup joué à "c'est celui qui dit qui est": menteur, incompétent, faible, imprécis. Ainsi, les Français ont assisté à des querelles assez surréalistes sur la réforme du permis de conduire et sur le prix du litre d'essence ainsi qu'à des discussions fort talmudiques sur l'origine de leur viande halal.
Gérard Colé: Vote par élimination
Nous voilà arrivés au moment du choix, celui où le citoyen tranche. Beaucoup d'entre eux savent depuis longtemps pour qui ils vont voter. Quoique ait dit, fait, démontré la personne qui incarne leur espoir, ils voteront pour elle. Toute la com' politique n'a sur eux aucun effet. Ni l'hystérie des sondages quantitatifs, ni le barnum des meetings, ni les petites phrases lâchées aux mass media...

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